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Participer à un FSM, c’est avoir l’opportunité de participer à des centaines d’activités différentes proposées par des membres de la société civile du monde entier. 

Ces pratiques peuvent parfois déranger, sembler inutiles, sans intérêt. Mais se laisser porter est important dans un Forum, «  se perdre pour mieux s’y trouver » est un mantra à bien avoir en tête pour profiter de toutes ses richesses. Ce fut le cas pour Antoine, tombé au milieu d’un atelier intitulé « Creating social movements through physical movement ». « Au début, j’y ai vu une sorte d’atelier “coaching” personnel. On pouvait se demander au premier abord ce que ça faisait dans le programme FSM…mais en fait, c’était super chouette pour faire un pas de côté et changer de perspectives  ».

D’autres, comme Cyril, ressortent de certains ateliers « impressionné par la qualité du travail de territoire effectué par les animateurs communautaires au Québec ». Il se demande alors « comment s’inspirer du modèle québécois ? » ou encore « comment réussir en région ce qui marche en ville ? ».

Malheureusement, parfois, la méthode appliquée souligne des défauts déjà connus et laisse frustré, comme le souligne Chloé, qui a assisté à une grande conférence sur l’Education pour toutes et par tous. Jugée trop longue et trop « descendante », sans intervention ou presque du public, elle s’interroge. « Comment rendre plus interactives les grandes conférences et surtout éviter les discours prescriptifs pour passer plus rapidement à l’analyse ? J’ai l’impression que cette conférence enfonce des portes ouvertes ». 

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Parfois, un atelier fait mouche plus qu’un autre. Félicie avait « les larmes aux yeux » à cause de l’émotion ressentie durant l’atelier des Raging Grannies. «  Il n’y avait que des grands-mères, 4 jeunes et un seul homme. Elles avaient toutes des histoires très différentes, elles avaient de 60 à 80 ans mais elles gardaient une pêche d’enfer !  ».

Les Raging Grannies écrivent des chansons pour protester. Protester contre des modèles de développement prédateurs et des situations d’injustice*. Chloé, qui a également participé à cet atelier renchérit : «  c’était ludique et simple, amusant tout en ayant du fond. Ça m’a permis de me conforter dans le fait que pour protester il est aussi important d’être dans un format ludique, pour être visible ».

* les paroles de l’une de leurs chansons, sur l’air de All when the Saints  : « WHEN RAGING GRANNIES COME MARCHING IN, when Raging Grans come marching in, when Raging Grans come marching in, we invite you to be in that number, when Raging Grans come marching in. We’ve got to turn our lives around, We’ve got to turn our world around, We’re singing for peace and our planet, And for clean air, water and ground”.



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