Le présent texte n’a d’autre objet que d’aider à la clarification d’un débat devenu urgent, sur ce que sont les communs (ou « le » commun) et ce qu’ils peuvent apporter à la réflexion en cours sur les alternatives. Cette clarification me paraît d’autant plus urgente que – bien étrangement – les communs sont devenus une « mode ». Plus aucun chercheur en sciences sociales (ou presque) qui ne s’y réfère, comme à un objet dont l’importance ou la signification « va de soi ».