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Exploitation des ressources du Nil : un enjeu d’avenir aux racines coloniales

Le Nil, plus grand fleuve d’Afrique est le témoin millénaire de l’aventure Humaine, de sa grandeur à ses dilemmes. Il a appartenu à plusieurs espaces, de l’Egypte antique à nos jours où il est partagé par onze pays (allant de la source la plus éloignée) : la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi, la République Démocratique du Congo, le Kenya, l’Ethiopie, l'Erythrée, le Soudan du Sud, la République du Soudan et l’Egypte. Avec quel impact pour les habitants autour du Nil, sur le Nil lui-même et quelles implications pour les générations futures ?

Le Nil, dont la source n’était pas connue dans l’Egypte antique malgré les expéditions menées durant cette époque (notamment par Ptolémé II et les Romains), suscitait une fascination presque mystique. Depuis les siècles d’exploration qui ont suivi, nous ne parlons pas d’une source, mais de deux grandes branches (aussi appelés affluents)  : le Nil bleu et le Nil blanc qui, à leur tour, sont alimentés par divers cours d’eau.

Au XVe siècle un missionnaire jésuite espagnol, Pédro Paez, établit la source du premier au lac Tana dans les hauts plateaux d’Ethiopie. Le Nil blanc est appelé ainsi à cause de la couleur gris-clair que lui donnent les sédiments d’argile. Le Lac Victoria (aujourd’hui partagé entre le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie) est communément considéré comme son point d’origine à la suite des expéditions de John Speke, explorateur Anglais en 1862. Cependant, cet affluent est aussi alimenté par des courants traversant le Congo, le Rwanda et le Burundi ce qui laisse donc toujours la question de la source précise du Nil Blanc en suspens. Les deux branches se rejoignent à Khartoum, au Soudan et nous parlons à partir de ce moment de Nil tout court. Il se prolonge en Egypte avec le Delta pour ensuite rejoindre la mer méditerranée.

Aujourd’hui la question principale qui se pose est l’exploitation des ressources de ce grand fleuve.

Les accords coloniaux

Les premières traces d’accord sur l’exploitation du Nil remontent à la période coloniale. Les puissances impériales administrant de vastes étendues dans un esprit de concurrence entre elles, ont établi des accords basés sur une entente collective, lors de la conférence de Berlin, en 1884. Les puissances coloniales décidèrent entre eux du partage des “sphères d’influence” en Afrique Plus que de l’influence, c’était le début d’une ruée. Le Royaume-Uni entendait se constituer un empire allant “du Cap au Caire” et a joué ici un rôle décisif dans la zone traversée par le Nil. La plupart des pays qui partagent aujourd’hui le Nil, se sont ainsi retrouvés tributaires de l’empire britannique. Dans un esprit d’entente cordiale d’autres pays colonisateurs ont également apporté leur contribution à cet édifice : émerge alors pour la première fois, une politique de gestion d’envergure dont le Nil fait l’objet.

La zone allant de la mer rouge (Ras Kassar) au Nil bleu - comprenant l’Ethiopie - fut attribuée à l'Italie. Le Royaume-Uni, installé dans la région depuis 1880, ne concède en réalité cette zone d’influence à l’Italie que de manière conditionnelle. Le Royaume-Uni entendait surtout préserver ses intérêts au sein de l’“état” Egyptien (sous son influence depuis 1882). L’une des clauses était l’interdiction à l’Italie de construire tout projet d’irrigation sur le Nil Bleu. Le sentiment de primauté de l’Egypte sur le Nil est partiellement issu de ce traité.

C’était sans compter sur la défaite italienne en 1896 par les troupes éthiopiennes à Adwa. Le traité ne pouvant entrer en vigueur les puissances coloniales ont du composer avec les souverains éthiopiens. Le traité Anglo-Ethiopien (1902) fut conclu sous le règne de l’empereur éthiopien Menelik II (1844-1913). Cet accord visait essentiellement à démarquer la frontière entre l’Empire d’Ethiopie et le Soudan (protectorat anglais). Son article III stipule toutefois que l'empereur s’engage à ne pas autoriser ni à construire des “ouvrages” sur le Nil bleu et ses confluents “afin de ne pas perturber le débit” (1). L’Egypte était un protectorat anglais à l’époque. A son indépendance, le pays hérite en quelque sorte à son indépendance de la domination sur le Nil.

Dans un contexte de rivalité et de tensions croissantes entre pouvoirs coloniaux fut conclu en 1906 le Traité Tripartite respectant l’Abyssinie (Ethiopie actuelle) entre l’Italie, le Royaume-Uni et la France. Il est à noter que le terme “en respectant l’Abyssinie” induit l’exclusion de l’Ethiopie de ce traité et dans la mesure où cet accord ne s’inscrit que dans les intérêts de puissances coloniales, l’Ethiopie ne fut pas consultée sur le sujet. Le ton du texte reste néanmoins très cordial envers l'empereur d’Ethiopie tout en affirmant la primauté de l’Egypte et du Royaume-Uni quant à la gestion du Nil. Ce traité ne fut, une fois de plus, pas reconnu par l’Ethiopie.

Le dernier traité colonial fut signé en 1929. L’Accord entre L’Egypte et le Sudan Anglo-Egyptien (tous deux sous domination britannique) était en quelque sorte une étape aboutissante de la construction de l’empire colonial Britannique. En effet, à ce stade, le Royaume-Uni occupait une majorité des pays partageant le Nil et avait effectué de nombreux travaux d’aménagement au Soudan afin de s’assurer d’un cours régulier du fleuve. Cet accord reprend les points abordés dans les traités précédents, avec des précisions dont les effets perdurent aujourd’hui. Sur 84 milliards de m3 (débit du Nil à son arrivée à Assouan), il est accordé à l’Egypte 48 milliards de m3 et 4 milliards de m3 au Soudan. Les 32 milliards de m3 restants sont à partager entre les pays en amont. De plus, l’Egypte a le droit de véto et de gestion sur tout projet de construction sur le Nil. A cela s’ajoute l’absence de devoir de consultation si l’Egypte venait à mettre en oeuvre des projets sur le fleuve ainsi que le droit exclusif d’exploiter le Nil durant la saison sèche.

S’il peut paraître surprenant que l’Egypte soit aussi avantagée alors que le Soudan était lui aussi sous protectorat britannique, l’histoire entre ces deux voisins ainsi que les réalités économiques de chacun permettent d’y voir plus clair.

Les traités post-indépendance

L’Egypte obtient officiellement son indépendance en 1922. Il faudra cependant attendre 1954 pour que les troupes britanniques quittent le territoire. Le Soudan devient souverain en 1956. Il faudra donc attendre 1959 avec l’Accord sur les eaux du Nil (Egypte, Soudan) pour parler d’un premier accord entre Etats souverains.

Cette fois, le flot total du Nil est partagé uniquement entre le Soudan (18.5 milliards de m3) et l’Egypte (55 milliards de m3). Les deux pays s’engagent à entamer des travaux afin de limiter la quantité d’eau évaporée. La construction des barrages d’Assouan (Egypte) et de Rosaries (Soudan) ainsi que des projets d’irrigation sont validés.

Si toutefois un autre Etat riverain venait à réclamer sa part, le Soudan et l’Egypte s’engagent à déduire la quantité attribuée à cet autre Etat de leur parts respectives, à égalité. Dans ce cadre, des structures visant à faciliter la prise de décision et l'exécution des projets (Bahr El Ghazal, Mishar…).sont par la suite mises en place tel que la Commission Technique Permanente sur le Nil (1959). Cet état de fait perdurera jusqu’en 1991, malgré les esquisses de projets individuels des neuf autres pays. Cette date marque un tournant dans la gestion du Nil.

Bien que les protestations et le refus du cadre légal étaient partagés par les pays en amont du fleuve, il n'y avait pas eu d’organisation concrète afin d’engager des pourparlers. Une initiative collective voit le jour sous L’Initiative du Bassin du Nil avec le soutien de la Banque Mondiale. A son origine, le Soudan et l’Egypte ainsi que huit autres pays : l’Ethiopie, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, le Burundi, le Rwanda, la République Démocratique du Congo et l’Erythrée (observateur).

Malgré l’apparente cohésion des états concernés, cette initiative exacerbe les tensions entre pays en amont et en aval. La redistribution des compétences est en réalité peu appliquée. Le Conseil des Ministres du Nil avec une présidence rotative ne suffit pas à instaurer un dialogue constructif. Entre 2010-2011 cinq pays en amont du Nil signent l'Accord-cadre sur la coopération dans le bassin du Nil : l’Ethiopie, le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda, la Tanzanie et le Burundi. Il remet en question le traité de 1929 et exprime un refus des parties signataires du véto Égyptien hérité de l’époque coloniale. Les mécanismes mis en place par cet accord s’inscrivent dans un premier temps dans l’Initiative du Bassin du Nil, mais l’idée à long terme est de la remplacer.

Ce changement de stratégie s’explique en partie par l’évolution de la stratégie diplomatique Éthiopienne qu’illustre la construction de barrages et plus particulièrement celui d’Assouan en Egypte (1898-1976) et le Grand Barrage de la Renaissance (GBR) en Ethiopie (2010- en cours).

Barrages d'Assouan et de la Renaissance

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les motivations pour la construction du barrage d’Assouan et celui (en cours) de la Renaissance en Ethiopie, sont très semblables. Malgré les 40 années qui séparent ces idées, un idéal de prospérité, de développement et un sentiment de responsabilité de soi les a guidé.

Bien que le projet de construction d’un barrage ait été discuté depuis au moins le règne du roi Farouk, l’Egypte pendant la période de construction (1960-1971), était mue par un fort sentiment nationaliste. Avec à sa tête Gamal Abdel Nasser, puis Anwar El Sadat, le pays sut faire face aux diverses pressions dans un contexte de guerre froide.

Le barrage fût l’objet de promesses en tous genres venant à la fois du Royaume-Uni et des Etats-Unis mais étant donné les liens entretenus avec l’URSS, ce ne fut que de courte durée. Le président Nasser nationalise donc le Canal de Suez (autrefois propriété de la France et du Royaume-Uni) dont les recettes serviront plus tard à la construction du barrage d’Assouan.

Irrigation et électricité

Si ce projet avait pour but de limiter les dégâts provoqués par la crue annuelle du Nil et de permettre une irrigation à destination agricole ainsi que de produire de l’électricité, il n’en demeure pas moins imparfait.

Depuis l’Egypte Antique, le Delta du Nil (allant d’Alexandrie à Port Said) concentre le gros de la population et de la production agricole. Cette zone triangulaire où le Nil se jette dans la mer méditerranée est aussi stratégiquement située que fertile. Dans une période de forte densité démographique (qui se poursuit de nos jours), l’Egypte de Nasser doit nourrir de plus en plus de personnes. Le barrage d’Assouan a permis de cultiver plus de 100,000 hectares de terre désertique. La production d’électricité a également permis un certain essor tant dans les campagnes que dans les villes dont le quotidien fut transformé (10 milliards de kw/an). Aujourd’hui, l’Egypte, troisième pays le plus peuplé d’Afrique doit faire face à des défis pour certains anciens et d’autres, plus récents.

Destruction de patrimoine historique

Le premier problème posé par la construction du barrage d’Assouan était l’emplacement même de celui-ci, à la frontière entre l’Egypte et le Soudan en basse Nubie. Les images du temple d’Abou Simbel qui étaient déplacé (avec l’aide de l’UNESCO) pour ne pas être noyé sous le réservoir massif envisagé, ont marqué les esprits à travers le monde. Si cela a pu paraître comme étant un geste novateur, la préservation des sites historiques fut malheureusement sélective sans parler des 100 000- 500 000 êtres humains déplacés. Le réservoir du barrage, une fois rempli, a enseveli toute une région historiquement habitée par des Nubiens.Ce territoire qui s’étend d’Assouan (Egypte) à Khartoum (Soudan) fut au cours des siècles, le siège de nombreux empires et royaumes Africains. La construction, et donc l’inondation qui a eu lieu pour remplir le réservoir - le lac Nasser - a eu des conséquences drastiques. Il faut dire que malgré les 22 monuments historiques sauvés, une grande partie des sites ont étés inondés sans étude préalable. La destruction culturelle s’est accompagné d’un déplacement de population massif tant en Egypte qu’au Soudan avec malheureusement peu de moyens réellement mis en oeuvre pour permettre la continuité d’une société Nubienne. Isolés du cycle d'inondation annuelle qui rythmait le temps et les traditions, la question de la préservation de la culture et de la langue nubienne est aujourd’hui toujours en suspens.

Dégâts environnementaux

Sur le plan environnemental, l’arrêt de la crue annuelle du Nil a également eu des conséquences. Le limon fertile qui arrivait avec les eaux lors des inondation est désormais prisonnier du lac Nasser. Les sols moins fertiles présentent un risque pour la production agricole. Si le réservoir qui contient à peu près l’équivalent de deux crues du Nil a préservé le Soudan et l’Egypte de la famine lors des sécheresses des années 70-80 dans la région, sa capacité a décru de par la quantité importante de sédiments qui y sont déposés.
Il est également aujourd’hui devenu un facteur d’érosion. Les zones autour du fleuve perdent 125 à 127 m/an. Si les pôles continuent de fondre au rythme actuel, la ville d’Alexandrie ainsi que tout le nord du Delta se retrouveront submergés.

Cette zone pourvoyeuse de près de 90% de l’eau en Egypte et habitée par près de la moitié de la population du pays subit également les conséquences du réchauffement climatique. la sécheresse et la salinité des sols si elles se poursuivent, pourraient rendre 15% des terres incultivables à l’horizon 2050.

C’est dans ce contexte qu’émerge le projet de construction du barrage de la Renaissance en Ethiopie en 2011. Initié dans le cadre d’un plan quinquennal de développement, il répond aux mêmes aspirations que le barrage d’Assouan.

Une gestion des ressources diplomatique

Avant d’aborder l’aspect technique, ce projet à été une expérience fort intéressante sur le plan de la diplomatie dans la gestion de ressources. En effet, la légitimité du projet s'appuie sur l’apport considérable de l’Ethiopie au débit du Nil et la volonté de soutenir un boom économique et démographique. Il a par par ailleurs été consolidé par la dénonciation de la position indue de monopole de l’Egypte et du Soudan, vestige de l’ère coloniale, sur lequel semblent s’accorder les 8 autres pays tributaires. Non pas que les ambitions de l’Ethiopie fâchent en tant que telles mais l’Egypte et (au départ) le Soudan, déjà anxieux quant aux problématiques cités plus haut, l’ont été d’autant plus sachant qu'il fallait somme toute, partager.

Le risque d’affrontement, parfois armé, a été évoqué mais il faut savoir qu’à ce jour, le combat reste diplomatique. Il y a de nombreux points d’interrogation et de négociations sur l’impact tant humain qu’environnemental qu’aura le barrage de la Renaissance. L’estimation du nombre de déplacés tend entre 5000 et 20 000 personnes. Malgré les impératifs, ne serait-ce qu’alimentaires pour l’Ethiopie, deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, il serait judicieux de considérer les impacts à long terme constatés sur le barrage d’Assouan, applicables sur le barrage de la Renaissance en Ethiopie. A titre d’exemple ; il existe environ 150 espèces de poissons dont 12 endémiques dans la zone du barrage, nous ne savons pas grand chose sur leur devenir. L’emplacement du barrage pose également un risque plus large pour la biodiversité, le site est au coeur d’une des régions forestières les plus importantes d’Ethiopie. Le réservoir devrait ainsi inonder un territoire à 90% constitué de forêt, les conséquences sur l’économie locale ainsi que la biodiversité sont donc à prendre en compte.

Sur l’aspect technique, Il est question de limiter les inondations lors des périodes de crue du fleuve (accordant 15km de terre supplémentaire à l’Ethiopie). Les avantages pourraient également concerner le Soudan en régulant les inondations et permettant ainsi une zone d’exploitation agricole plus large. Ce fait a encouragé le dialogue entre l’Ethiopie et le Soudan qui a également le barrage de Roseires à proximité. De plus, il se pourrait que la production en électricité du barrage de la Renaissance puisse être partagé avec les états frontaliers. Il émerge donc une nécessité de coopération pour assurer une gestion effective du Nil.

A ce jour, le barrage de la Renaissance a été complété aux deux-tiers et le projet se poursuit, en dépit des protestations de l’Egypte, préoccupée par la quantité d’eau pouvant lui être amputée ainsi que par le remplissage du réservoir. Si la première question devrait être réglée par le comité technique de l’Initiative du Bassin du Nil (NBI) et de ce fait, par l’ensemble des pays tributaires, la deuxième inquiétude est plus complexe. En effet, sans accord, l’Ethiopie pourrait entamer le remplissage du réservoir au rythme qu’elle estime justifié. Que cela soit le cas ou non, le risque que l’Egypte et/ou le Soudan manquent d’eau à la suite de ces manoeuvres n’est pas à écarter. Les pays concernés ont ainsi multiplié les échanges et efforts diplomatiques depuis 2019 et il y a, malgré la tension, un espoir secret : celui d’un fleuve partagé par ses enfants.

Avec 9 barrages en service et 4 en cours de construction, répartis entre quatre pays, le Nil est plus que jamais inscrit dans les projets Africains. Il n’en demeure pas moins qu’au vu du défi climatique mondial, seule la question de la transmission devrait s’imposer. Comment s’adapter, face au réchauffement climatique qui rend les niveaux d’eau et les pluies imprévisibles ? Comment assurer un cadre de vie acceptable à une population jeune, croissante alors que les ressources se délitent ?

Il n’est jamais vain de le répéter, les 9 pays qui doivent en grande partie leur existence au Nil, se doivent de travailler ensemble en dépit des économies différentes, des politiques et des appréciations variées. Cette collaboration ne concerne pas seulement la répartition simple et mathématique de ressources mais également le développement d’une pensée collective. Le Nil est à penser au-delà des frontières, il en va de la sécurité alimentaire, de la stabilité future et de la préservation de l’humain dans cette région.

Loza Seleshie

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