En 1999, des Scouts français réalisent des animations dans des orphelinats découverts après la chute du communisme et Christina était traductrice. C'est ainsi que la jeune femme découvre la situation de ces enfants vivants à 15 kilomètres de chez elle.
Christina crée l'association en 2004
En 2005, prise de contact avec l’association Parada, qui s’occupe des enfants des rues de Bucarest. Ils envoient 2 personnes pour poser les bases du travail de rue.
En 2007, STEA loue un appartement social et permet à 7 jeunes d’y être logés.
En 2009, création du centre de jour.
En 2013, arrêt de l’appartement social, à cause des gros problèmes de discrimination.
Il y a de plus en plus de SDF marginalisés qui vivent dans des squats ou des bâtiments sociaux délabrés. Certains travaillent en Tchéquie.
En Roumanie, il n’y a pas d’esprit associatif. Ce n’est pas dans les mentalités des roumains de faire du bénévolat. L'association française a fait de l’empowerment (dynamisation). L’association roumaine s’est structurée avec un conseil d’administration, des salariés et des bénévoles.
Le phénomène « enfants des rues » disparait petit à petit.
Mais les enfants devenus adultes ont maintenant des enfants et vivent toujours dans des squats.
Un squat réuni environ 70 personnes
En 2014, le Fonds Européen de Norvège soutient financièrement la constitution d’un groupe de travail local rassemblant 31 institutions publiques + organismes sociaux + associations de Satu Mare (hôpital, justice, police, éducation nationale, service social, etc…).
Aujourd’hui STEA est un sympathisant du CCFD et est en voie de devenir le nouveau partenaire Roumain du CCFD-Terre Solidaire.